dimanche 29 décembre 2013

J'ai testé pour vous... #3


En ces jours de fin décembre, je travaille (je poursuis mon stage à la Fabrique à gâteaux depuis le 27 décembre) et Hug et les enfants sont partis. Du coup aujourd'hui en sortant du boulot je me fais une petite toile !
Dans un premier réflexe, je me suis dirigée vers le métro pour aller aux halles à l'ugc mais la vérification des horaires sur l'appli Première m'a indiqué les salles qui se trouvaient dans mon coin (gare de l'est) dont le Louxor, rénové depuis peu. J'ai vu qu'il donnait The Lunchbox dont la bande-annonce me faisait envie, j'ai pris le métro dans l'autre sens êtes deux coups de cuiller à pot j'étais à Barbès.


C'est un joli lieu, l'extérieur comme l'intérieur. L'accueil est sympathique, le prix de la place n'est pas donné (9€) mais avec la carte famille nombreuse c'est un peu moins cher (7,50€), ce qui est appréciable. Ma séance a lieu dans la salle numéro 2, en sous-sol, et elle est très confortable. Le film est chouette, un peu lent pour moi, mais c'est une jolie histoire, assez poétique et sensible.Mais comme on voit le personnage principal se régaler avec les plats préparés avec beaucoup de soin par Ila la jeune femme, c'est un supplice lorsqu'on a faim.
En tout cas moi ça m'a donné terriblement envie de manger les plats qu'on voit !

jeudi 26 décembre 2013

Les crêpes de la boulpat'

Je vous avais promis la recette des crêpes utilisée dans la pâtisserie dans laquelle je fais mon stage ; la voici :
- 64 oeufs
- 800 g de beurre fondu
- 800 g de sucre
- 800 g d'huile
- 20 g de sel
- 4 kg de farine
- 8 litres de lait
Casser les oeufs, mettre avec l'huile, la farine, la levure et le beurre.
Intégrer le lait petit à petit au début pour éviter de faire des grumeaux. Quand le mélange est homogène, ajouter le reste du lait.
Avec ça vous remplissez trois seaux.

Si vous voulez en faire moins, un petit demi-seau par exemple, voici d'autres proportions.
- 8 œufs
- 100 g de beurre fondu
- 100 g de sucre
- 100 g d'huile
- 3 g de sel
- 500 g de farine
- 1 litre de lait.
Après la procédure est la même. Veillez juste à mettre le lait très progressivement dans le mélange.

Je n'ai pas testé ces proportions du coup je ne peux pas vous dire combien vous ferez de crêpes, mais une bonne quantité je pense. Par ailleurs, avec la matière grasse contenue dans cette recette vous n'avez pas besoin de trop vous énerver sur le graissage de la poêle !

Pour revenir à mes découvertes dans le merveilleux monde de la pâtisserie professionnelle, je dois vous dire que je me suis un peu lâchée dans mon article précédent à propos de mon stage. Certes ça ne vole pas très haut et je me sens isolée mais j'apprends des choses, on me laisse en faire, je ne fais pas que la plonge et le ménage (d'ailleurs certains jours je ne participe même pas au ménage), les gars ne sont pas méchants et ne me crient pas dessus et je fais des horaires tout à fait corrects. Quand je vois la façon dont ça se passe pour certaines de mes copines de classe je me dis que je suis pas mal tombée et que c'est un bon endroit pour faire un stage.
Des bûchettes que
j'ai décorées

Les deux derniers jours, les 23 et 24 décembre c'était un peu répétitif, j'ai décoré pas mal de bûches mais j'ai bien aimé ça. Et contrairement à ce que j'avais imaginé, l'ambiance était plutôt détendue. Il faut dire, l'organisation était pas mal et la pâtisserie a fermé le 24 au soir. Ils sont en vacances pour 10 jours, ils pouvaient être détendus !
Moi à partir de demain, je pars pour 10 jours de stage entre filles...

À suivre !

samedi 21 décembre 2013

C'est fou ça !

Depuis que j'ai commencé l'école pour préparer le CAP de pâtisserie je n'écris plus que là-dessus... Et même pas pour donner des recettes, juste pour raconter ma vie et mes états d'âme.
Du coup dans les articles à venir je vais tâcher de mettre les recettes qui m'ont été demandées... À venir donc, galette des rois (et j'ai intérêt à ne pas trop trainer !), sablés bretons aux noix et beurre de cacahuète, tarte chocolat-praliné. Si vous avez envie que je vous donne d'autres recettes, n'hésitez pas à demander !
A venir dans les jours qui viennent...

Sinon je crois que j'utilise ce blog aussi pour évacuer des petites choses, comme le fait que j'ai rêvé de mon stage cette nuit et que voir la tête de c** d'un des gars (le pire, le boulet, celui qui ne fait que rater des occasions de se taire quasiment) quand je ferme les yeux ça me pose un problème !
Cette deuxième semaine est passée relativement vite, mais j'ai eu un petit coup de fatigue jeudi. Il faut dire que cette semaine je n'ai pas pu faire de sieste du coup les journées ont été assez chargées et je n'ai pas eu mon compte de sommeil probablement.
Hier vendredi j'ai décoré plein de bûches, c'est assez agréable mais j'étais un peu sous pression avec la patronne qui attendait à côté de moi que je les lui passe. Et j'ai fait plein de petites choses mais rien de complet comme quand j'avais fait les fraisiers. Là je ne les fais plus mais j'espère que lorsque les fêtes seront passées je pourrai de nouveau faire des choses plus intéressantes.
Les expériences nouvelles de cette semaine c'était surtout porter des trucs super lourds que je n'aurais jamais pensé pouvoir porter ! Un cube de beurre par exemple. Je ne sais pas combien ça pèse (25 kg je crois) mais c'est autre chose que les plaquettes de 500g que j'achète ! C'était mon record personnel, avec montée d'escaliers je vous prie !
Sinon mêmes les casseroles vides je n'arrive pas à les porter d'une seule main ! Comme ils disent, "c'est pas de la dînette" ! J'ai préparé l'appareil à crêpes et fait des crêpes. La recette est chouette, les crêpes étaient bonnes (ben oui parce que j'en ai raté et j'ai pu en manger une). Je vous la donnerai quand j'aurai récupéré mon calepin que j'ai laissé à la pâtisserie.
Jeudi aussi, j'ai cassé 320 œufs (240 pour la crème d'amandes des galettes, 80 pour la brioche des boulangers), mon record personnel ! Sans compter ceux de la pâte à crêpes...

Globalement le plus dur c'est de ne pas avoir de copain je pense. Ils ne sont pas méchants mais entre la tension parfois, les blagues de cul et les remarques pas toujours agréables j'ai du mal à trouver ma place. Chez Bogato je n'avais pas vraiment de copine non plus mais on communiquait plus. 
Bon... tant pis, c'est comme ça !
Mais du coup je vais essayer de trouver un autre endroit pour les deux derniers stages.

Mon programme pour la suite c'est :
- 23 et 24 décembre dans la boulpat´
- repos les 25 et 26
- travail à la fabrique à gâteaux du 27 au 31 inclus
- repos les 1, 2, et 3
- 4 et 5 à la fabrique à gâteaux
- du 6 au 10 janvier à la boulpat´
- du 13 au 17 aussi.

Ensuite retour à l'école pour 3 semaines ! Yay ! J'ai hâte de retrouver les copines et les profs bienveillants !

Joyeuses fêtes en tout cas, profitez des vacances si vous en prenez et faites vous plaisir !


mardi 17 décembre 2013

Un stage sévèrement burné !

Mes premiers fraisiers faits de A à Z !
Lundi dernier j'ai commencé mon deuxième stage, dans une boulangerie-pâtisserie de quartier (on dit boulpat' pour aller plus vite) dans le 10ème arrondissement.
C'est une entreprise assez traditionnelle, tenue par le patron et sa femme. Le premier dans le laboratoire, la seconde en boutique. Ils ont repris le commerce au mois d'août, c'est donc très récent. Il y a pas mal d'employés, 10 dans le labo pour la pâtisserie et la boulangerie, 5 en boutique. Ils produisent beaucoup de choses, du pain, des gâteaux évidemment, des viennoiseries aussi mais également beaucoup de choses pour le déjeuner, des salades, des fougasses, des sandwiches, des quiches. Même des plats du jour et des frites maison faites avec des vraies patates !
Ça me fait penser à la boulangerie bleue à côté de l'IAU, c'est peut-être même encore plus fourni !
J'ai commencé ma journée à 6h le premier jours mais depuis je commence à 7h. Pour avoir le temps de me changer tranquillement j'arrive à 6h45. 
C'est particulier comme ambiance d'être avec uniquement des hommes, qui ont toujours travaillé dans  ce domaine. Ça vole parfois assez bas, rase-motte.
Il y a une particularité, c'est que l'ex de plusieurs mecs s'appelle comme moi. Donc les autres cocos ils ont du mal à m'appeler par mon prénom ! Les deux premiers jours je n'ai rien dit. Le troisième jour, quand ils m'appelaient Véronique ou Nathalie, je les appelais aussi par un prénom autre que le leur. Le quatrième jour, après en avoir entendu des vertes et des pas mûres sur les Séverine, je leur ai dit que toutes les personnes portent le même prénom n'étaient pas les mêmes. Ils m'ont dit que pour leurs prénoms effectivement ce n'était pas le cas mais que toutes les Séverine étaient les mêmes. Là, avec ma petite voix de la nana qui jusque là ne l'ouvrait pas beaucoup je leur ai dit que c'était un peu comme s'ils me traitaient de connasse. Ça les a un peu calmés je crois. Je verrai demain si ça aura survécu au week-end !

Suite du billet : aujourd'hui lundi j'ai eu le privilège de constater que ça ne les a pas calmés... Le week-end est passé par là et a tout effacé.

Ce qui est cool c'est qu'ils sont super réglo sur les horaires, ce qui est loin d'être toujours le cas d'après les échos que j'ai ou avoir d'autres pâtisseries. Ayant une convention de 35h par semaine, je fais 7 heures par jour, pas une de plus. Par exemple aujourd'hui j'ai travaillé pendant 7h30 et la patronne m'a dit de venir une demi-heure plus tard demain matin. Quand j'entends mes copines de classe raconter qu'elles font 10 ou 11h d'affilée je me dis qu'elles sont bien courageuses et que je suis vernie !
Sinon c'est bien parce que j'apprends des choses, je fais les fraisiers, prépare les petits desserts pour la boutique (crème brûlée, tartelette aux fraises, etc), fais les quiches et les petits pains garnis (c'est ce que je préfère, c'est super agréable de travailler la pâte à pain). Aujourd'hui j'ai appris à faire les rouleaux en chocolat pour décorer les fraisiers. 
C'est drôle j'ai l'impression que ça fait plus longtemps que 5 jours que je suis là.... Certes ça fait 6 jours ! Mais c'est vraiment intense du coup c'est comme si ça faisait bien plus longtemps. Parce que je ne travaille que 7h mais c'est sans interruption, je mange un truc sur le pouce (ou rien) et c'est tout. Les gens autour de moi sont toujours occupés, du coup il est impossible de ne rien faire. Quand je ne sais pas quoi faire je m'occupe de la plonge par exemple.

Ça fait quand même pas mal de changements, je pars le matin quand tout le monde dort encore, je prends le métro, descends à Gare de l'Est et marche 10 mn. Arrivée à la boulpat´ je me change, je salue tout le monde et je me mets au boulot. Tant que je suis au laboratoire ca va, je tiens le coup. Mais quand j'ai fini et que je me suis changée, je ne suis plus bonne à grand chose. J'ai du mal avec les enfants, que je ne trouve pas cools du tout en ce moment. Alors je ne sais pas s'ils sont effectivement pénibles ou si c'est moi qui ne supporte rien. C'est sûrement quelque chose entre les deux...

J'ai l'impression d'avoir du temps et en même temps non. Je suis rentrée relativement tôt à la maison mais n'ai pas forcément de temps pour moi entre les choses à faire et les enfants. Et les soirées sont vite terminées, en prévision du réveil le lendemain.

En tout cas c'est intéressant cette expérience, et j'apprends beaucoup de choses. Je ne suis pas sûre du tout de le faire des potes mais bon, ce n'est pas l'objectif ! Mais c'est sûr que ce serait plus agréable...









vendredi 6 décembre 2013

La fin du début...

Ça y est, j'ai passé cinq semaines à l'école, une semaine en stage et lundi j'entame le gros morceau, le stage de six semaines. Pour moi ce sera cinq dans une boulangerie-pâtisserie traditionnelle dans laquelle je ne serai qu'avec des hommes et une, entre Noël et le jour de l'an, à la fabrique à gâteaux où je ne serai qu'avec des filles. Pour le moment je ne fais pas trop dans la mixité !
Tous les profs nous ont prévenus, c'est la pire période pour les pâtissiers, ils sont super stressés parce qu'il y a énormément de travail et qu'ils font une grosse part de leur chiffre d'affaires à ce moment là.
Du coup j'appréhende pas mal mais bon, j'espère que ça va bien se passer, que j'apprendrai des choses et que je ne m'en prendrai pas plein la tête !
Et puis je me dis aussi que si ça ne se passe pas bien je peux aussi m'en aller ailleurs.

Cette semaine à l'école était assez chargée. Lundi nous avons fait une bûche roulée avec génoise et crème au beurre, hyper traditionnelle et très très kitsch. C'était rigolo à faire.


Le lendemain, nous avons fait un millefeuille, avec le glaçage traditionnel aussi, très délicat à faire. Je ne m'en suis pas trop mal tirée mais c'est sûrement le coup du bol de la débutante. Et pour les premières fois nous avons toujours une démo du prof avant de nous lancer.

Mercredi, surprise ! Notre prof Stéphane nous a préparé une évaluation surprise sur les éclairs au café. C'est-à-dire pâte à chou, crème pâtissière et fondant (pour le glaçage).
Rien de nouveau, nous avons déjà fait des éclairs à la vanille et des religieuses au café.
Heureusement qu'il ne nous avait pas prévenus, car j'aurais beaucoup stressé. Je stressais déjà pas mal avec les deux interros prévues pour le jeudi en techno et le vendredi en sciences appliquées.
Je lui avais dit que je me faisais une montagne des évaluations et je crois qu'il en a tenu compte en ne nous disant rien. Ou peut-être pas... Quoi qu'il en soit, pour moi c'était mieux !

Mais bon, même sans paniquer, je n'ai pas trop réussi mes éclairs. Ma pâte à chou a explosé au four et mes éclairs n'étaient pas très réguliers. Mon fondant n'était pas trop mal, mieux que les deux autres fois. C'est super délicat le fondant, il ne doit pas être trop épais ni trop liquide ni trop chaud ni trop froid... Et tout ça se fait au jugé.
Du coup j'ai eu 11 pour la pâte à chou et 12 pour le fondant. C'est bof. 
Le prof nous a expliqué que de toutes façons on ne met jamais plus de 15... Donc ce n'est pas si mal finalement !
La conclusion c'est qu'il va falloir que je m'entraîne à pocher des éclairs pour arriver à les faire réguliers et de la bonne taille. 


Après les éclairs nous avons fait une tarte au citron meringuée. J'ai testé pour la première fois la douille saint-honoré mais ce n'était pas facile... Je me suis un peu lâchée sur le chalumeau aussi, sur le côté droit.


Après l'évaluation j'étais quand même déçue, ma copine Macha aussi. Et on avait en tête les deux interros à préparer...

Jeudi matin nous avons commencé notre journée avec le cours de dessin, que j'apprécie vraiment beaucoup. Je me demande si je ne vais pas m'inscrire au dessin comme les enfants l'année prochaine.
La prof Isabelle nous a rendu nos masques d'inspiration Maori, j'ai eu 16,5, ça m'a un peu consolée de ma déception de la veille.


Et j'ai commencé le travail suivant : nous devons choisir un dessin, le reproduire puis le styliser afin d'en faire un pochoir.
J'ai choisi un dessin de coquelicot (j'aime beaucoup cette fleur) dans les planches de Deyrolles, que j'ai reproduite puis stylisée. J'ai commencé à découper le pochoir mais c'est tout, je reprendrai ce travail en janvier.


L'interrogation écrite en techno s'est pas mal passée finalement, même si je n'avais pas tout bien en tête. 
L'après-midi nous avons visité les grands moulins de Paris à Gennevilliers. C'était intéressant mais nous sommes un peu restés sur notre faim, nous aurions aimé voir l'utilisation de la farine et pas seulement sa fabrication.
C'était chouette aussi de sortir de l'école.


Aujourd'hui interro en sciences, ça ne s'est pas trop mal passé.
Mais surtout aujourd'hui c'était la séparation ! Nous ne revenons à l'école que dans 6 semaines et ça va être long... Déjà avec le stage d'une semaine nous avions plein de choses à partager !
J'espère que nous arriverons à trouver un moment pour prendre un café ensemble et faire un point d'étape. 
Quant à moi, je vous raconterai mon stage sur le blog !

dimanche 1 décembre 2013

Point d'étape

Ça fait 5 semaines que j'ai repris le chemin de l'école, 3 semaines à l'EBP, une en stage et une de nouveau à l’école. La semaine prochaine j'y suis encore puis je pars en stage pour 6 semaines.
Comme je le disais dans mon billet précédent, mon premier stage s'est bien passé, malheureusement je n'ai pas de photo pour vous montrer les jolies choses qui sont fabriquées chez Bogato mais vous pouvez en avoir un aperçu sur le site internet.
Le retour à l'école lundi s'est bien passé, j'étais toute contente de retrouver les copains. 

J'ai réalisé que j'avais vraiment eu des conditions de stage idéales (un peu trop car je n'ai pas fait suffisamment d'heures et c'est un peu un problème...) en écoutant les compte-rendus des autres.
Entre celle qui faisait des journées de onze heures, celle qui sortait des viennoiseries surgelées des cartons en se faisant hurler dessus, celle qui faisait plein d'heures et se faisait insulter (Tu fais quoi là ? Je mélange mon... Mais tu vois pas que tu fais de la merde ? T'en as pas marre d'être conne ? Tu ne te fatigues pas toi-même ?) j'ai vraiment eu l'impression d'être au pays des bisounours. Alors que je devais travailler aussi évidemment, m'appliquer, etc... L'ambiance était respectueuse et très sérieuse.


Mon prochain stage se passera dans une boulangerie-pâtisserie traditionnelle vers Colonel Fabien. De ce que j'ai vu en allant rencontrer le patron, il n'y a que des hommes dans le labo, je ne sais pas pourquoi, je sens que ça va être différent !
Comme ce pâtissier prend une semaine de vacances (auxquelles je n'ai pas droit moi, sous peine de perdre une semaine de salaire et de payer une semaine d'école...) je ferai la semaine entre Noël et le jour de l'an à la Fabrique à gâteaux, où je ferai également le stage de 3 semaines en février. Là il n'y a que des filles !

Cette semaine à l'école était différente aussi car nous n'avions pas notre prof habituelle Aurélia mais Stéphane qui s'est avéré très bien aussi.
J'ai l'impression qu'il a donne un coup d'accélérateur, dans le sens où nous avons été plus productifs. C'est logique en fait. Certaines des choses à réaliser ont déjà été montrées par Aurélia et ne nécessitaient pas de démonstration du coup nous avons gagné du temps là dessus.


Mes religieuses, assez gourmannndes
comme dirait Cyril Lignac
Tarte normande
Le moka...
comment ça c'est kitchissime ?!
Tarte aux pommes
Nous avons commencé par des religieuses au café lundi, pour lesquelles nous avons donc fabriqué de la pâte à chou, de la crème pâtissière et de la crème au beurre (pour les petites flammes blanches situées entre les deux choux). Le lendemain, moka ! C'est un gâteau constitué de trois couches de génoise, recouvertes de crème au beurre au café, et le gâteau est lui-même entièrement recouvert de crème au beurre.
N'étant pas fan de ce gâteau, je l'ai troqué contre du pain et des croissants avec une étudiante en boulangerie.
Nous avons aussi fait une tarte aux pommes (avec un fond de compote faite par nos soins) avec une pâte brisée légèrement sucrée.
Bande aux pommes et au beurre !!
Le mercredi, pour notre matinée continue (8h30-14h), une tarte normande (aux pommes aussi mais avec un appareil à quiche sucré), des bandes aux pommes (avec des rognures de pâte feuilletée) et une tarte au chocolat (avec une pâte sucrée).
On n'a pas pu tout rapporter, car une commande avait été passée à l'école mais je suis quand même rentrée avec tout ça !



Le labo c'est comme ça :
deux grands tours (le nom des plans de travail),
trois élèves de chaque côté,
douze en tout !
Mes copines de tour la semaine dernière !
Vous noterez l'élégance de la charlotte...
La place vide à gauche c'est la mienne,
quand je ne prends pas de photos !

Le retour à l'école c'est aussi ça !

Un baccalauréat pendant le cours de gestion
(je dois bien reconnaître que j'ai des progrès à faire)
Une petite virée chez Métro !