dimanche 27 novembre 2011

Niouzes

Désolée, je n'écris pas grand-chose ces temps-ci, ne partage aucune recette, ne montre plus rien. J'ai sombré dans le pré-hiver. Même s'il ne fait pas bien froid, la grisaille suffit à me démotiver, à me démobiliser. Même pas la grisaille d'ailleurs, peut-être juste les jours plus courts. Et puis il y a la morosité ambiante. Pas à la maison spécialement, tout le monde va plutôt bien.
Juste la morosité ambiante de dehors, les dealers devant la porte de l'autre côté de la rue, les gens qui en ch... au quotidien, qui se creusent la tête pour savoir comment manger, les amis qui souffrent, les gens qui se battent loin, loin de France, le gouvernement qui n'en finit pas de déconstruire les bases de notre république... Tout ça. 

Je n'ai même pas une petite devinette à vous mettre sous la dent. Mais je vais tacher d'y remédier prochainement.
Promis.
Si si.

1 commentaire:

  1. Un petit bisou, un petit mot doux en forme de murmure.
    Ou plutôt de couinement à bien y réfléchir, tant il est enseveli emmitouflé sous les épaisseurs de laine (moi non plus l'hiver c'est pas mon truc, nuit à cinq heures, lèvres gercée tout ça)) et sous la carapace qui a déjà bien servi (mais qu'on réajuste)...

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