Grâce à ma maman, qui va jusqu'à la Capitale pour moi, j'ai maintenant 12 moules en forme de tablette, du chocolat en pistoles en pagaille, des fruits secs et du praliné. Il n'y a plus qu'à.
Hier, première étape : moulage des tablettes, chocolat noir et chocolat au lait... Après un échec la veille pour le même exercice. Il faut mélanger le beurre de cacao à 35°C, pas 36 ! Car chocolat blanchi, décalcomanies qui ne s'impriment pas bien etc... Ou alors c'est parce que je n'ai pas attendu le refroidissement à 31°C... Je ne sais pas, en tout cas je n'ai pas fait comme il faut.
Je réalise combien c'est vraiment un travail très délicat et précis. J'ai quand même gardé mes essais, tout à fait comestibles même si pas très jolis, et ai rempilé le lendemain, prête à passer par toutes les étapes bien scrupuleusement.
Et effectivement, quand on fait tout bien, on a le résultat attendu !
A chaque fois que je moule des tablettes (c'est-à-dire que je mets une fine couche de chocolat pour prendre la forme mais j'enlève le surplus car je veux par la suite les garnir de praliné-feuillantine), il me reste du chocolat... Ce qui me permet de faire des petites bouchées façon mendiant ou du chocolat tout fin à croquer. Et hier je les ai décorées avec les décalcomanies trouvées au BM.
Ah oui, une autre précision, au cas où vous voudriez vous essayer aussi à la fabrication de tablettes... Le chocolat ne refroidit pas au frigo mais à température ambiante (18 à 20 °C), et pendant 12 heures.
Et chez moi, dur-dur de le laisser reposer... Des dents de traviole (si vous voyez de qui je veux parler...), des petits doigts ont bien du mal à résister.
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